top of page

LËTZ RISE UP est une association féministe et antiraciste composée de femmes et d'hommes ayant pour but d'unir leurs forces pour défendre et soutenir les personnes susceptibles de subir des discriminations en raison de leur genre, race, religion, orientation sexuelle ou leur handicap, oeuvrer pour leur bien-être dans la société luxembourgeoise, et agir pour la transformation sociale de la société en faveur des personnes susceptibles de vivre des discriminations.

Nous souhaitons sensibiliser les citoyen.nes et les décideur.ses aux problématiques du
racisme au Luxembourg, à travers l’organisation de formations, de conférences, le plaidoyer, ainsi que de manifestations artistiques, dans le but de valoriser et rendre visibles les personnes qui ne le sont pas, et en particulier les femmes qui subissent des discrimination croisées.

321576620_555821429499459_6251699608038751710_n.jpeg
_LEA9048.jpg

Sandrine Gashonga, Présidente

Sandrine Gashonga est formatrice à la compétence interculturelle et militante antiraciste et féministe décoloniale. Née au Rwanda en 1977, elle arrive au Luxembourg en 1997 en tant que réfugiée.. Elle débute dans l’activisme en 2013 au sein d'Amnesty International Luxembourg, avant de devenir co-fondatrice de Lëtz Rise Up en septembre 2019..

Image d’iOS.jpg

Audrey Magen, Secrétaire

Née à Paris en 1988, Audrey Magen a grandi en Martinique jusqu'à ses 20 ans. Elle est installée au Luxembourg depuis 2015 et travaille en tant que coordinatrice de projets dans une asbl. Auparavant active dans une association d'expatriés ultra-marins au Luxembourg, elle rejoint Lëtz Rise Up à l'été 2020, suite à la manifestation du 5 juin en hommage à George Floyd.

322660117_897665958055556_3823841397990733312_n.jpg

David Crecel,
Trésorier

D'origine martiniquaise, David Crecel parle couramment le créole et le pidgin. Au Luxembourg depuis 2011 en provenance de la région parisienne, il travaille dans plusieurs entreprises de la place financière avant de se mettre à son compte en tant que consultant en services financiers.

PELAGIE.jpg

Pelagie Bakilan, Membre

Anne-Pélagie Bakilan est née à Dakar en 1985. Après le collège, elle fait des études d'hôtellerie et de couture, puis elle transite par le Portugal avant d'arriver au Luxembourg en 2010. Passionnée de couture, elle décide de créer son entreprise tout en continuant de travailler dans le secteur de la santé. Elle possède désormais sa propre marque de vêtements et d'accessoires, Bakilan (disponible sur Bakilan.lu), offrant une mode d'inspiration africaine et occidentale audacieuse et chic,

322893299_668319438359993_4157056393514784287_n.jpg

Joseph Arama, Membre

Joseph Arama a 28 ans, il a commencé son parcours professionnel par la comptabilité. Il s'est ensuite vite tourné vers la communication, avec comme spécialité le copywriting et les réseaux sociaux. 

Sa passion pour l'art et le cinéma lui a appris que l'on peut toujours trouver du beau dans le laid!

Selon lui, le monde serait plus beau sans la jalousie, l'envie et la haine.

NOTRE DÉCLARATION POLITIQUE

Le racisme est plus qu’une opinion, c’est une affaire de pouvoir qui a des conséquences sociales et économiques.

 

C’est pour cette raison que le racisme ne doit pas seulement être combattu au niveau individuel, mais aussi politique. La législation luxembourgeoise sur l'immigration limite l'accessibilité de certaines nationalités au marché du travail, mais aussi au marché du logement et jouent ainsi un rôle majeur dans le maintien du racisme.

 

L’éducation sur le racisme doit commencer dès l’enfance. Les programmes du cours d'histoire doivent être modifiés et sortir d’une vision euro-centrique. Nous ne devons pas oublier que la richesse de l'Europe repose sur l'exploitation des ressources et du travail des peuples qu’elle a colonisé.

L’histoire de la traite transatlantique et les multiples rebellions des esclaves devraient être enseignés, tout comme l’histoire de la colonisation, sans oublier celle de l'Afrique avant la traite des esclaves.

Les personnages comme le Père Fouettard (« Zwarte Piet », qui perpétuent une vision raciste et stéréotypée des personnes noires doivent être retirés des livres pour enfants.

Le Luxembourg pourrait participer au projet d'éducation sur la traite transatlantique "Briser le silence" de l'UNESCO, par exemple en finançant un échange de classe entre les différents continents impliqués dans ce drame. Un tel échange interculturel d'étudiants du Luxembourg, d'Afrique et des Caraïbes pourrait être très enrichissant dans la reconnaissance et le combat contre le racisme.

Le Luxembourg pourrait contribuer à la lutte contre le racisme en participant activement à la Décennie internationale des personnes d'ascendance africaine 2015-2024 proclamée par l'Assemblée générale des Nations Unies en 2014.

Les associations qui luttent contre le racisme devraient être soutenues financièrement.

Les autorités luxembourgeoises devraient activement empêcher la circulation des préjugés et des informations erronées concernant la prise en charge des réfugiés.

Une femme avec des hauts talons et une a
bottom of page